Le sport est souvent la première forme d’engagement des jeunes et son caractère inclusif permet de faire participer des jeunes aux origines socioculturelles très différentes. La pandémie a crée un énorme besoin de rattrapage en matière des rencontres sportives. Elles offrent aux jeunes la possibilité de vivre des expériences interculturelles mémorables et de rendre l’idée européenne plus concrète.
Nous avons échangé avec Brigitte Henriques, présidente du Comité national olympique et sportif français (CNOSF) et Stefan Raid, président de la Deutsche Sportjugend (dsj) sur l’intégration des jeunes venant de régions en guerre, comme l’Ukraine, et sur leurs attentes autour des Jeux Olympiques de Paris en 2024.